Après LAmant, Le Mari - Dévergondages 09
APRÈS LAMANT, LE MARI - Dévergondages 09
Michel B., ma contacté lors dun déplacement dans le pays où je réside, à quelques milliers de km de la France. Lui-même, demeurant dans la région bordelaise, il ma confié les fantasmes quil a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il la connu avec une maîtresse durant une dizaine dannées à Paris. Pour cela, il ma demandé dimaginer des récits pouvant lamener à se pervertir.
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« Tout bourgeois, dans l'échauffement de sa jeunesse, ne fût-ce qu'un jour, une minute, s'est cru capable d'immenses passions, de hautes entreprises. Le plus médiocre libertin a rêvé des sultanes ; chaque notaire porte en soi les débris d'un poète ».
Madame Bovary de Gustave Flaubert
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime dun chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, après avoir cédé au notaire, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes du restaurant. Celui-ci lui ayant laissé un billet lui donnant rendez-vous pour le lendemain, lui précisant ses instructions ; il la veut sans sous-vêtements lors de leur rendez-vous ; pas de soutien-gorge ni de culotte.
Après avoir dormi presque deux heures, dans le loft dEdmond, Odile se délasse dans un bain parfumé. Ensuite, elle revêt le tailleur de lin écru quelle portait le matin, et elle sapplique un léger maquillage sur le visage. Au moment de partir, elle se souvient quelle a laissé le rosebud dans la salle de bains. Après avoir hésité et réfléchi quelques minutes, elle se décide à retrousser sa jupe et à présenter le cylindre argenté, tout de même pointu sur lillet de son derrière. À sa grande surprise, à peine a-t-elle appuyé, que le plug se propulse très facilement dans son anus.
Lorsquelle arrive chez elle, sa fille Muriel est déjà là, mais Michel, son mari nest pas encore rentré. Il est vrai que son travail à Blaye (Bordeaux Port Atlantique), se trouve assez loin et quil lui faut du temps pour se rendreà leur domicile de Lormont. Elle est tout de même très embarrassée de se savoir sans sous-vêtements alors que sa fille est dans la maison et que son mari ne va pas tarder. Elle va dans sa chambre et enfile rapidement un soutien-gorge et un shorty.
Le plug en acier, logé dans lorifice anal, si nouvellement sollicité, lui rappelle à tout moment ce quelle a dû accepter de ce démon de notaire, qui, depuis seulement une semaine, lui fait découvrir une facette complètement inconnue de sa personnalité. Elle, qui na jamais été attirée par lérotisme, se contentant du devoir conjugal quelle accorde à peine à son époux, a accepté, en quelques jours, de se plier aux exigences de celui, qui lui a tout de même évité un chantage odieux.
Elle se souvient même quelle a pris du plaisir, Oh, pas la première fois à lhôtel Les Feuilles d'Acanthe, mais hier, dans le loft que le notaire a mis à sa disposition, lors de la fellation quelle lui a octroyé, elle sest régalée même du sperme quil a éjecté dans sa bouche et quelle a avalé jusquà la dernière goutte. Elle ne peut oublier la honte incroyable, le soir, à Saint-Macaire, lorsquEdmond la retroussée dans la rue. Mais aussi aux Abricotiers de la Garonne, lorsque le serveur et deux clients ont pu contempler son entrejambe dénudé, ainsi que son minou, scène qui sest reproduite à Bordeaux, aujourdhui, lors du déjeuner à la brasserie. Puis, en sortant de la voiture au début de laprès-midi, où Edmond a pris son bras pour quelle ne puisse avancer, alors quelle avait les cuisses grandes ouvertes et que deux passants ont pris le temps de sarrêter pour contempler longuement la vulve bien dégagée.
Elle ne peut se cacher, que malgré lhumiliation ressentie, elle a aussi éprouvé un certain trouble à se savoir observée et détaillée dans toute son intimité, comme lorsque son suborneur la photographiée, lui faisant prendre des poses presque obscènes, où elle sest sentie belle et désirable pour la première fois de sa vie.
Mais, elle ne peut sempêcher de trembler, en sachant que lobjet métallique quelle a accepté de recevoir dans son petit trou et quignominieusement, elle devra porter tous les jours durant au moins six heures, va la préparer à être sodomisée. Cette pratique que son mari à voulu lui imposer au début de leur mariage et quelle a refusé énergiquement, la trouvant sale et inconvenante. Se peut-il quà présent, elle envisage cette possibilité sans se révolter ? Edmond a entièrement révolutionné ses sens, en lui offrant des jouissances quelle na jamais pu imaginer dans ses rêves les plus fous. Elle réalise quelle se sent prête à subir les pires outrages pour jouir encore plus sous la conduite de cet amant diabolique.
Elle entend une voiture qui vient dentrer dans la propriété. Cest de toute évidence son mari qui rentre. Elle va vite au-devant de lui ainsi que Muriel. Cette dernière dailleurs, leur annonce quelle part immédiatement, car son petit copain lattend au resto de luniversité où ils sont, tout les deux, inscrits. Après lavoir embrassée, le couple se dirige vers la demeure ancestrale quils ont le bonheur doccuper. En effet, cette gentilhommière est une « Folie » du XVIIIe siècle, située dans un environnement très arboré à lorée du Parc de l'Ermitage Sainte-Catherine à Lormont. Michel prend sa femme par la taille et ils devisent calmement tout en marchant vers leur maison.
Lorsquils y pénètrent, on découvre un intérieur très moderne, ce qui surprend, eu égard à l'environnement campagnard et à cette demeure ancienne. Michel, adossant son épouse contre une cloison de limmense vestibule, lembrasse sur la bouche, puis, ne la laissant pas se reprendre, il lui retrousse sa jupe, et, tâtant sa culotte, il la trouve bien humide.
- Eh bien ma chérie, aurais-tu encore des envies comme ce matin ? Ta culotte est trempée, que tarrive-t-il mon amour ?
Odile se tient coite, le sang sétant retiré de son visage.
Puis, tout de même embarrassé de sêtre conduit en soudard, il propose à son épouse daller au restaurant pour un dîner en amoureux, puisque leur fille est partie rejoindre Gérard, son amoureux. La belle mature, soulagée quil ne lui fasse aucune réflexion sur ses gémissements et sa participation active au coït brutal quelle vient de subir, acquiesce, retrouvant un apaisement momentané. En effet, elle éprouve une frayeur rétrospective à lidée que son mari aurait pu mettre ses mains sur ses fesses, découvrant ainsi le rosebud enfoncé dans son cul. Car cest bien de son cul quil sagit. Elle ne peut plus, au point où elle en est, se cacher derrière les mots qui étaient les siens avant son indécente conduite.
Elle se rend donc dans la salle de bains pour se préparer. Elle change de sous-vêtements, car sa culotte est complètement trempée, de sa mouille et du foutre de son mari, qui a dégorgé de sa chatte après lassaut quelle a subi. Elle retire également le plug métallique, elle le nettoie et le cache dans sa boite de serviettes hygiéniques. Sa fille utilise des tampons et Michel ne cherchera en aucun cas dans ce récipient.
Le couple passe une très bonne soirée dans un restaurant japonais près du quai 17 à Bordeaux. Odile na pas joui comme avec Edmond, bien quelle ait ressenti du plaisir à la verge qui la pénétré, mais elle est surtout heureuse que son mari ait pu la prendre ainsi, à la hussarde. Cela la décomplexe de ce quelle vit par ailleurs. Elle est tout de même étonnée quil ne la questionne pas sur les causes de sa miction qui apparaît après des années de sécheresse vaginale. Elle a soudain une idée lumineuse. Elle va prétexter une visite à sa gynécologue, pour annoncer à son mari quelle est en pré ménopause et que la doctoresse lui a prescrit des hormones qui ont certainement un effet sur la lubrification de son vagin. Mais comment annoncer cela à son mari, puisquils nont jamais eu, depuis vingt-cinq ans quils sont mariés, la moindre conversation intime de ce genre ? Elle pense quil sera bien temps den parler le moment venu.
Heureusement, le notaire a des obligations qui léloignent de Bordeaux durant une bonne semaine. Il se passe dix jours avant quEdmond reprenne contact avec Odile. Lorsquil lui téléphone, alors quelle est à son bureau, il lui donne rendez-vous pour le surlendemain, lui ordonnant de mettre une jupe légère très ample et un haut genre caraco ou débardeur à fines bretelles comme ils en ont fait lachat il y a une dizaine de jours. Bien entendu, il lui rappelle quelle ne doit pas utiliser de sous-vêtements et que son rosebud doit être bien en place dans son cul. Il lui demande dêtre à 11 heures à lappartement de la place Mitchell.
Lorsquelle gare son automobile dans le garage qui est réservé pour lappartement, il est 10 heures 45. Elle a prétexté un rendez-vous extérieur à ses collègues de bureau. Son poste de DRH lui permet heureusement de navoir pas de comptes à rendre. Elle se dépêche de monter pour se changer, car elle est en tenue de travail avec son tailleur pantalon bien sévère. Heureusement, elle a eu le temps pendant les dix jours de tranquillité quelle a eu, de venir ranger dans les penderies et tiroirs, tous les achats quils ont effectués ensemble. Elle prend dabord une douche et glisse le plug en acier dans son fessier qui sest bien habitué à cet objet étranger. Elle passe un peignoir de bain avant daller choisir les vêtements que le notaire lui a conseillés.
Cest à ce moment quEdmond pénètre dans lappartement, il lembrasse gentiment tout en la débarrassant de son peignoir pour lavoir nue sous ses mains baladeuses. Il ne tarde pas à fouiller la chatte qui shumecte sous les doigts indiscrets qui doigtent habilement les chairs tendres. Odile halète sous la masturbation diabolique de lhomme qui la tient en son pouvoir, mais bientôt, elle se pâme entre ses bras, ses cuisses sagitant en tout sens et son corps ne pouvant cacher des tremblements, sous la jouissance quelle ressent. Soudain, elle expulse plusieurs jets discontinus de son vagin sur les doigts dEdmond, qui continue de plus belle. À présent, la belle mature hurle sous les doigts qui ont déclenché un orgasme inouï, rejetant un liquide quelle croit être de lurine à sa plus grande honte. Echappant à lhomme qui ne peut la retenir, elle se roule en boule sur le parquet, éclatant en sanglots.
Très patient et avec beaucoup de délicatesse, Edmond lui explique que ce quelle a expulsé ainsi, fait delle une femme fontaine et que ce nest quun liquide identique au fluide pré-séminal de lhomme. Cela na rien à voir avec la cyprine lui explique-t-il, mais probablement avec le point G quil lui a frotté vigoureusement et qui a déclenché ces jets lorsquelle a lâché prise lors de son orgasme. Ce liquide, l'éjaculat est produit par les glandes de Skène qui sont implantées de chaque côté de l'urètre, le fluide est incolore, inodore, son goût est neutre et ressemble à de l'eau. Il ne tache pas ajoute-t-il.
Il précise, pour la rassurer entièrement, quà un moment donné, il y a quelque chose qui lâche, dans tous les sens du terme. La première fois, cela arrive par surprise. Elle a réagi à ce doigtage qui a stimulé son point G et elle a éprouvé plus de jouissance quelle nen a lhabitude certainement. Or le plaisir ne se contrôle pas.
Odile a écouté avec attention les explications de son suborneur. Elle sèche ses larmes et lui demande la permission de se nettoyer dans la salle de bains avant de shabiller. Le vieux notaire la relève, puis, il laccompagne dans la salle deau, la déshabillant avec précaution. Il fait couler leau tiède dans la baignoire, ajoutant des sels de bain parfumés. Puis, il laide à enjamber le rebord émaillé et, avec une grosse éponge naturelle, il la lave entièrement. Puis, il lui retire délicatement le rosebud dentre ses fesses, massant dun doigt la rosace qui sest refermée. Odile se laisse faire par cet homme qui lui fait peur, mais qui la rassure en même temps. Elle songe que cest un amant exceptionnel. Elle qui na jamais été attirée par les choses du sexe, elle ne peut quadmettre quelle découvre avec lui, toutes les facettes dune sexualité qui lui étaient inconnues jusqualors.
Edmond laide à sortir de la baignoire, puis il la sèche vigoureusement avec une grande serviette éponge. Puis, lentrainant vers le large lit rond où il létend délicatement, il la dispose pour que ses fesses soient tout au bord du lit, les pieds posés sur le sol du loft. Sagenouillant entre ses cuisses, il entreprend de lui lécher les replis des aines jusquau pubis, tandis quun doigt, enduit de gel, agace ladorable il de bronze de couleur brun et au plissement accentué. Le majeur pousse délicatement en son centre, très doucement, les muscles du sphincter se relâchent et le notaire en profite pour introduire un second doigt, enduisant au passage les anneaux des sphincters, avec le gel émollient, pour forer encore le goulet étroit. Odile se laisse faire complaisamment, éprouvant des sensations complexes par la langue qui goûte la liqueur qui sourd abondamment de la grotte vaginale, mais qui sintroduit également au plus profond du vagin, écartant les grosses lèvres de la vulve, raclant les parois qui transpirent un suc onctueux.
Les muqueuses congestionnées du vagin sont dun beau rouge sombre, alors que le tourillon roide du clitoris pointe effrontément hors de son capuchon. Edmond le prend délicatement entre ses lèvres, faisant faire un bon de carpe à la belle dévergondée. Pourtant, elle ne proteste pas aux deux doigts qui fouillent sans ménagement à présent le délicieux petit anneau de vénus, décoré dune jolie couronne de poils frisés. Edmond lécartèle le plus possible, pour y glisser le nouveau rosebud, dun bon diamètre cette fois. Lorsque lengin métallique se loge enfin dans la Voie Royale, lillet plissé se referme fermement sur la tige en acier, emprisonnant la pointe ovoïde er renflé au cur du fondement.
LorsquOdile se remet doucement des émotions quelle vient déprouver, Edmond lui propose de lemmener déjeuner dans un endroit très bucolique qui se trouve à deux pas de lappartement.
À suivre
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